La manière forte… Je mets le commentaire de Bertrand B. (à la suite dua billet « être un laboratoire d’idées », ce même jour) à la rubrique « l’invité du blog » pour que les lecteurs rapides puissent y réagir. Ce débat sur le rôle d’une gauche ouverte dans la politique bordelaise est essentiel. J’ose dire qu’il est l’objet principal de ce blog : être une parcelle de ce ferment qui fait qu’à un moment les cuves de vin se mettent à frémir, que leur température monte, et qu’à maturité, le vin devient le plus beau produit de notre région !

C’est un « nouveau membre » du PS inscrit à Bordeaux qui répond et s’interroge, après quelques mois à suivre les réunions locales, à suivre l’actualité nationale du PS et à participer (un peu) à cette première campagne.

Séduit par la convivialité et la qualité des personnes que j’ai rencontré au sein du PS, riches de leur diversité et de leur militantisme, séduit par la richesse des nombreuses interventions basées sur le vécu et l’expérience personnelle et professionnelle de chacun.

En contraste, frustré (très) par le peu de circulation de l’information au sein du parti, par l’absence (jusqu’à maintenant) de débats ouverts aux Bordelais sur les vraies questions locales et régionales avec les « militants » de base et d’autres, le sentiment (j’espère faux) que les problèmes sur lequel on souhaite entendre le PS localement ne sont pas mis au premier plan.

Envie de pouvoir relayer autour de moi des propositions du PS pour Bordeaux qui seraient exprimée de façon concrète et unie (Bordeaux + la CUB) (et au delà de celles de l’ensemble de la gauche).

Envie de lire dans les médias locaux autre choses que les problèmes internes au PS.

Le sentiment que le PS, même très pluriel, n’est pas toute la gauche, que 2002 c’était hier, et que les élections à venir nécessitent un PS local offensif, uni , visible et lisible par chacun, avec ses portes et ses fenètres grandes ouvertes aux autres. Votre blog nous y invite. Les échéances l’imposent.