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Vacance, au singulier, qui est vide, qui est vacant. Et selon l’humeur, il s’agit d’une heureuse disposition, incitant à de nouvelles aventures et de nouvelles acquisitions, ou d’un sombre constat, du genre « du camembert dans la tête ».

Ni l’un, ni l’autre mon général. Seulement, comme une bonne petite fonctionnaire que je ne suis pas, je me suis mise en vacances (au pluriel cette fois), et qu’avec un seul jour (hier), j’ai fabriqué des grandes vacances de 4 jours, où je m’occupe des « choses de la vie », des gens qui les entourent. « Les choses » étaient un beau titre de Georges Perec. J’entretiens avec elles un rapport irrégulier et souvent conflictuel, et elles me le rendent bien. Il y a « les choses » qui aident à vivre, bien que quelquefois pesantes, et les choses qui empêchent de vivre.

Les deux mon général… Aujourd’hui, je me suis occupée des livres, « aides à vivre » s’il en est, mais lourds à vivre quand il s’agit de les transporter, de les ordonner… Lourds, au sens propre.

Voilà, je voulais juste vous raconter un peu ma vie, espérant que vous ferez de même.

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