Tous les écrans se couvrent de son nom
Tous les écrans se couvrent de son nom,
comme des fleurs sur un cimetière immatériel
Tous les écrans se couvrent de son nom
comme autant de lumières dans le ciel d’internet
Tous les écrans se couvrent de son nom
comme d’infimes glas dans le noir de nos vies
Lui qui fût quintessence
et qui meurt du poison par lequel nous légalisons le suicide
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