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Communiqué de presse : Déni de démocratie au Grand Parc : mais que veut donc cacher InCité ?

Mais que veut donc cacher InCité ?

Trois ans et trois mois après l’incendie qui a entraîné la fermeture de trois commerces du centre commercial Europe au Grand Parc, propriété d’In Cité, les commerçants, les habitants et les élus n’ont toujours reçu aucune information sur les raisons du sinistre et plus encore sur les motifs empêchant aussi longtemps la réouverture des commerces. Ces vitrines obturées, taggées, ces commerces clos causent un préjudice considérable aux autres commerçants, privent les habitants d’une offre commerciale complémentaire et nuisent à l’image du Grand Parc.

Je suis intervenue à de multiples reprises auprès de Monsieur DE CHILLY, Directeur d’InCité, de Monsieur RISS, Président du TGI de Bordeaux ainsi que de Monsieur ALLARD, Directeur de Filhet-Allard Assurance (cf copies ci-jointes). Des réponses polies mais opaques m’ont été faites ; cependant il y était mentionné que l’expert avait reçu instruction de déposer son rapport le 29 octobre dernier.

Une réunion d’information a été enfin programmée le 6 décembre, réunion attendue par tous les acteurs impliqués, mais le sectarisme et la culture du secret des responsables tant politiques qu’administratifs d’InCité ont conduit à son annulation alors même que l’ensemble des commerçants, ainsi que des repreneurs potentiels des locaux, étaient rassemblés dans la salle municipale.

La cause ? La présence citoyenne d’une élue soucieuse du devenir de son quartier et du sort des commerçants et dont chacun connaissait l’implication dans ce dossier.

Malgré la demande explicite des personnes présentes, les responsables d’InCité et l’adjointe de quartier ont refusé de venir échanger avec ceux-là même qui, depuis trois ans, continuent de payer des loyers dans un environnement dégradé du fait de l’inconsistance du propriétaire, InCité.

Cette pratique de l’omerta, ce mépris à l’égard des personnes présentes qui, bien souvent, avaient du fermer leur magasin ou interrompre leur activité pour être là, ne fait malheureusement qu’attiser les suspicions sur les causes réelles qui conduisent à repousser sans cesse les nécessaires travaux du centre commercial ; ceci alors même que nous disposons de documents affirmant qu’ils auraient pu déjà être entrepris (copies ci-jointes)

Cette attitude est indigne d’une Société d’Economie Mixte pilotée par la Ville de Bordeaux et qui prétend incarner des valeurs d’humanité et de dialogue. Elle ne peut qu’alourdir l’inquiétude des habitants du Grand Parc, tenus à l’écart de toute explication, ce qui les amène à douter de ne jamais connaître une vérité si soigneusement tenue cachée.

Pour ce qui me concerne, je resterai avec détermination aux côtés de ceux qui depuis trois ans sont en droit d’obtenir des réponses de leur propriétaire. Par ailleurs, je ne peux manquer de m’interroger sur le médiocre état de la démocratie bordelaise dont témoigne cet événement.

Café citoyen : Lois de bioéthique, où en sommes-nous?

Hier soir, Michèle Delaunay organisait un café citoyen sur le thème de la bioéthique dans le restaurant Les Caves de Latour. De nombreux thèmes ont été abordé durant ce véritable débat animé tant par le public que par les intervenants qui avaient souhaité se joindre à la soirée : Jacques Faucher (Directeur de l’espace bioéthique Aquitain), le Professeur Benoît Arveiler (Professeur de Génétique Humaine), le Professeur Jean Pierre Duprat (Professeur émérite de Bordeaux IV, spécialisé en droit médical), le Docteur Evelyne Bironneau (Agence Biomédecine) et Jean-Louis Grelier (Directeur Général Adjoint de l’Action Social du Conseil Général de la Gironde).

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Dons d’organes, de sang et de gamètes, insémination post-mortem, procréation médicalement assistée, adoptions… : autant de sujets qui ont passionné et sur lesquels se sont interrogés la cinquantaine de personnes présente dans la salle.

Plantation d’arbres au collège du Grand Parc

Vendredi 12 novembre de 14h à 16h, quelques élèves du Collège du Grand Parc accompagnés de leurs professeurs ont planté des arbres dans la cour de l’établissement. Ce projet, qui a été bien étudié en amont en classe, leur a permis de participer à la mise en verdure de cet espace scolaire. Mais l’expérience ne s’arrête pas là, les élèves sont maintenant invités à créer des étiquettes pour nommer ces arbres et ainsi mieux connaître leur environnement végétal.

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Michèle Delaunay, pour qui la verdure tient une place importante, surtout dans le quartier du Grand Parc, était présente une partie de l’après midi, et en a profité pour remettre un Crassula au Principal de l’établissement pour marquer elle aussi cette journée d’une plante verte.

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