m

Michèle Delaunay défend la Maison Verte

Michèle Delaunay se mobilise aux côtés des riverains du boulevard du Maréchal Leclerc contre la construction d’un imposant immeuble à côté de la « Maison Verte », située au 68-72 du boulevard. Construite au XIXème siècle, cette oeuvre originale risque d’être « écrasée » par un bâtiment massif et peu respectueux de l’harmonie architecturale.
En accord avec les riverains, Michèle Delaunay a donc écrit aux juridictions susceptibles d’intervenir en la matière, ainsi qu’à M. l’Architecte départemental.

Enfin, elle a alerté Mme Catherine COLONNA, ambassadeur de la France à l’UNESCO, lors de sa visite à Bordeaux pour la biennale d’architecture.

Lire la lettre à M. le Procureur de la République

Lire la lettre à M. le Président du Tribunal Administratif

Lire la lettre à M. l’Architecte départemental

Lire la lettre à Mme l’Ambassadeur de la France de l’UNESCO

Michèle Delaunay et Vincent Feltesse aux côtés des manifestants de la culture

Les acteurs du secteur culturel ont manifesté devant le Grand Théâtre le 6 mai à 15h, pour protester contre la mise en danger du service public de la culture, et des milieux culturels en général. Michèle Delaunay et Vincent Feltesse étaient présents pour les soutenir.

Communiqué de Michèle Delaunay et Vincent Feltesse

Coût de l’énergie : après les Français, les Bordelais subissent des hausses injustifiables

Michèle DELAUNAY s’indigne de l’absence de toute intervention du Gouvernement visant à réguler les tarifs de l’énergie alors même que de nombreux Français n’arrivent plus à régler leurs factures. Il manifeste au contraire sa volonté de laisser faire, se défaussant ainsi de ses responsabilités. En effet, l’avis de la Commission de Régulation de l’Energie, jusqu’alors uniquement consultatif, est maintenant contraignant.

La presse s’est largement faite l’écho de l’augmentation de plus de 9,7 % du prix du gaz naturel distribué par Gaz de France – Suez à partir du 1er avril. Les Bordelais ont, quant à eux, subi une augmentation du prix du gaz encore supérieure, puisqu’entre le 1er janvier (+ 6,3 %) et le 1er avril (+ 4,1 %), le prix du gaz délivré par la société Gaz de Bordeaux a augmenté de 10,66 % soit près d’un point de plus que la hausse accordée Gaz de France.

De la même manière, le tarif d’abonnement d’électricité des petites co-propriétés immobilières (les plus nombreuses à Bordeaux) a subi en août dernier une hausse de plus de 346% sans aucune information préalable, sans justification de la part d’EDF et sans le moindre service supplémentaire. Michèle DELAUNAY, sollicité par des syndics professionnels et bénévoles, a interpellé à ce sujet le Ministre de l’Energie et le PDG d’EDF pour leur faire part de son indignation et en appeler à l’intervention du Gouvernement.

Il est en effet inamissible, qu’en ces temps de crise et d’altération du pouvoir d’achat, les entreprises de distribution de l’énergie, qui assurent une mission de service public, ne tiennent pas compte des difficultés de leurs usagers et persistent, sans réel contrôle de la part du Gouvernement, à vouloir faire le maximum de bénéfices.

Gaz de Bordeaux : lett_Borloo_Gaz.pdfLettre au Ministre de l’Ecologie et de l’Energie Gaz de Bordeaux : Lettre à la CRELettre au Président de la Commission de Régulation de l’Energie

EDF Pro : lett_EDF_Borloo.pdfLettre au Ministre de l’Ecologie et de l’Energie EDF Pro : lett_EDF_Proglio.pdfLettre au PDG d’EDF

Communiqué de presse : Coût de l’énergie : après les Français, les Bordelais subissent des hausses injustifiables

Michèle DELAUNAY s’indigne de l’absence de toute intervention du Gouvernement visant à réguler les tarifs de l’énergie alors même que de nombreux Français n’arrivent plus à régler leurs factures. Il manifeste au contraire sa volonté de laisser faire, se défaussant ainsi de ses responsabilités. En effet, l’avis de la Commission de Régulation de l’Energie, jusqu’alors uniquement consultatif, est maintenant contraignant.

La presse s’est largement faite l’écho de l’augmentation de plus de 9,7 % du prix du gaz naturel distribué par Gaz de France – Suez à partir du 1er avril. Les Bordelais ont, quant à eux, subi une augmentation du prix du gaz encore supérieure, puisqu’entre le 1er janvier (+ 6,3 %) et le 1er avril (+ 4,1 %), le prix du gaz délivré par la société Gaz de Bordeaux a augmenté de 10,66 % soit près d’un point de plus que la hausse accordée Gaz de France.

De la même manière, le tarif d’abonnement d’électricité des petites co-propriétés immobilières (les plus nombreuses à Bordeaux) a subi en août dernier une hausse de plus de 346% sans aucune information préalable, sans justification de la part d’EDF et sans le moindre service supplémentaire. Michèle DELAUNAY, sollicité par des syndics professionnels et bénévoles, a interpellé à ce sujet le Ministre de l’Energie et le PDG d’EDF pour leur faire part de son indignation et en appeler à l’intervention du Gouvernement.

Il est en effet inamissible, qu’en ces temps de crise et d’altération du pouvoir d’achat, les entreprises de distribution de l’énergie, qui assurent une mission de service public, ne tiennent pas compte des difficultés de leurs usagers et persistent, sans réel contrôle de la part du Gouvernement, à vouloir faire le maximum de bénéfices.

Gaz de Bordeaux :
Lettre au Ministre de l’Ecologie et de l’Energie : lett_Borloo_Gaz.pdf
Lettre au Président de la Commission de Régulation de l’Energie : Lettre à la CRE

EDF Pro :
Lettre au Ministre de l’Ecologie et de l’Energie : lett_EDF_Borloo.pdf
Lettre au PDG d’EDF : lett_EDF_Proglio.pdf

Communiqué de presse : Jean BOITEUX, personnalité charismatique du sport à Bordeaux

J’ai été sidérée d’apprendre ce matin la mort accidentelle de Jean Boiteux, dont l’engagement pour la jeunesse et le sport faisaient mon admiration à chacune de nos rencontres, d’ailleurs régulières puisqu’il avait rejoint le conseil d’administration du collège du Grand Parc

Son investissement au côté des habitants du Grand Parc et au mien en faveur de la conservation de la surface de baignade de la piscine olympique du Grand Parc a constitué notre première occasion de rencontre. Il avait pleinement conscience de l’importance de l’enjeu pour un quartier majoritairement social mais aussi pour la ville de Bordeaux et pour tous les établissements scolaires susceptibles de bénéficier de cet équipement.

Jean Boiteux continuait d’entraîner des jeunes à ce très beau sport qu’est la natation. Son entrain, son charisme, ses manières franches communiquaient immédiatement l’envie de suivre sa voie et son exemple.

C’est pour notre ville et pour le sport français une perte authentique ainsi que pour beaucoup de Bordelais qui ont eu l’occasion de le rencontrer ou de bénéficier de son chaleureux enseignement, une peine brutale et profonde.

Suivi et Infogérance par Axeinformatique/Freepixel