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Inauguration de la crèche de l’hôpital Charles Perrens

Ce matin, Michèle DELAUNAY était invitée à l’inauguration de la nouvelle crèche de l’hôpital Charles Perrens aux côtés du Directeur de l’hôpital M. DE RICCARDIS, en présence du Maire de Bordeaux. Cette nouvelle crèche, qui a ouvert ses portes mi-octobre, permet d’accueillir chaque jour 60 enfants, répartis en 3 catégories d’âge : les petits loups, les loupiots et les lutins.

 

 

 

 

 

 

 

 

Au programme : psychomotricité, jeux d’éveil, sensibilisation à l’eau avec pataugeoire et jets, espace ludique en extérieur…

Tous ces enfants sont encadrés par une équipe pluridisciplinaire (puéricultrices, auxiliaires de puériculture, psychologue, pédiatre…) dévouée et animée par la volonté de mettre en oeuvre un vrai projet pédagogique répondant aux besoins de l’enfant.

Les familles travaillant à l’hôpital vivant de plus en plus loin de leur lieu de travail en raison des prix immobiliers importants dans le quartier, trouvent ici un lieu adapté à leurs besoins et aux horaires parfois contraignants du milieu hospitalier.

 

 

 

 

Un bel équipement et une équipe dynamique !

Rencontre à la Maison de l’Industrie avec l’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie Gironde-Landes

Hier après-midi, Michèle DELAUNAY était invitée par l’UIMM Gironde-Landes à la Maison de l’Industrie de Bruges, afin de participer à une rencontre d’échange et de réflexion avec des Chefs d’Entreprises Industrielles, en présence de Sandrine DOUCET, députée de la 1ère circonscription.

Ce rendez-vous a été l’occasion d’écouter les remarques et revendications des Chefs d’Entreprises de TPE, PME et Groupes Industriels, sur les décrets d’application relatifs au compte pénibilité. Ces derniers considèrent la loi en l’état inapplicable puisqu’elle présente un déficit de clarté, notamment pour des PME. Michèle DELAUNAY s’est montrée ouverte sur l’intronisation de solutions avec une certaine souplesse dans le loi et les accords.

Le travail doit être un bénéfice gagnant-gagnant pour tout le monde, et ne doit pas ruiner la santé. La fonction de député n’est pas aisée tous les jours, mais ce n’est rien comparé au métier de couvreur : c’est la raison pour laquelle la pénibilité ne peut être laissée sur le banc.

Des pistes ont été dégagées au cours de l’échange : la prise en compte plus effective du médecin du travail, afin d’apprécier la pénibilité d’une manière plus objective ; des efforts toujours plus importants à mettre en œuvre sur la prévention des risques en entreprise sur des travaux pénibles ; la mise en place de rotation afin d’éviter une trop grande répétitivité des actions.

Michèle DELAUNAY a conclu l’échange en rappelant l’importance de la mise en place du CICE, notamment en Aquitaine, avec un gain fin novembre 2014 de 430 milliards d’euros pour les entreprises de la région. En 2015, l’impact financier sera porté à 650 milliards d’euros, avec un augmentation du taux de déduction d’impôt assis sur la masse salariale de 4 à 6%.

Carburant : 1 chiffre et 4 questions

Dans le rapport sur le développement durable de la Mairie de Bordeaux, plusieurs actions sont présentées, destinées à réduire la consommation de carburant et les émissions de CO2 :

  • Formation des agents à l’éco-conduite
  • Inciter les agents à l’utilisation des transports en commun domicile-travail
  • Renouveler le parc des véhicules par une gamme moins énergivore et moins émettrice de CO2
  • Réduire la flotte de véhicules
  • Favoriser les déplacements à vélo ou par marche à pied

Pour l’année 2014, était inscrite au budget la somme de 1 089 748 euros pour le carburant. Le 24 novembre, le Conseil municipal a voté la décision modificative n°2 qui ajoute à ce budget initial la somme de 200 000 euros portant le budget carburant à 1 288 748 euros pour l’année 2014.

Michèle DELAUNAY, interpellée par le montant de cette enveloppe a demandé le détail du parc de véhicules de la collectivité.

Dans un contexte de crise financière et de nécessaire maitrise des dépenses publiques, les collectivités locales doivent en effet être exemplaires dans leur gestion pour que l’effort demandé à chacun soit accepté par tous.

A l’analyse du parc de véhicules (environ 780 : voitures, scooters, camions, utilitaires…) et du kilométrage parcouru dans l’année (définition de la consommation moyenne par véhicule, moyenne du kilométrage annuel en fonction du relevé de compteur et de l’âge du véhicule, estimation du prix au litres en fonction du type de carburant) les frais inhérents à la consommation devraient tourner autour de 730 000 euros

L’écart – de plus de 550 000 euros – est trop important pour ne pas soulever 4 questions :

– Quelle explication peut justifier une dépense si conséquente ?

– Un contrôle est-il mis en place par véhicule ou par utilisateur ?

– Quelle rationalisation des moyens de la collectivité la majorité a t-elle mise en place ? Certains véhicules acquis par la municipalité roulant trop peu pour être rentables.

– La majorité applique t-elle à ses services la politique de développement durable en matière de déplacement qu’elle promeut pour les Bordelais ?

Le Maire de Bordeaux n’a pas estimé nécessaire de répondre à ces questions, soulevées lors de la séance du Conseil municipal de lundi dernier, au nom des Bordelais.

 

Hommage au poète Jean de la Ville de Mirmont décédé il y a 100 ans

 

 

A l’invitation de Michèle Delaunay, les admirateurs du poète bordelais Jean de la Ville de Mirmont se sont réunis sur sa tombe cet après-midi

Michèle Delaunay a rappelé le destin de ce jeune poète décédé le 28 novembre 1914, enseveli par un obus sur le Chemin des Dames. Myope, il n’avait pu embarquer sur les bateaux du Port de Bordeaux qu’il aimait tant et était parti à Paris où il travaillait au sein d’un Ministère. Il développa une sincère amitié avec François Mauriac, qui rédigea la préface de son ouvrage « les Dimanches de Jean Dézert ». Dispensé de guerre, il souhaita néanmoins monter au front et y mourut il y a 100 ans, arraché à sa ville, à la France et à sa famille.

Plusieurs personnalités bordelaises se sont exprimées pour déclamer un poème ou exprimer leur attachement personnel à ce poète et son oeuvre. Nous avons ainsi pu écouter tour à tour l’écrivain Michel Suffran, le comédien Paul Bariou, l’adjoint à la Culture Fabien Robert, la député Sandrine Doucet, l’élu Pierre Hurmic mais aussi Karfa Diallo ou encore Yves Simone.

Un des moments forts de cette commémoration fut l’hommage rendu par son arrière-arrière petit-neuveu, Jérôme Moisset, qui lut une lettre envoyée depuis le Front par Jean de la Ville de Mirmont à sa soeur et filleule.

N’oublions pas cette « génération perdue », ces morts de la guerre, la mort par l’oubli étant aussi atroce que la mort physique.

Souhaitons que Bordeaux et les Bordelais n’oublient jamais l’oeuvre et le sacrifice de ce jeune poète.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moment en mémoire du poète Jean de la Ville de Mirmont – 28 novembre à 16h30

Comme de nombreux Bordelais, Michèle DELAUNAY est une grande admiratrice du poète Jean de la Ville de Mirmont, né le 2 décembre 1886 dans notre ville.

 

 

 

 

 

 

 

Ce talentueux poète est décédé à 27 ans, enseveli par un obus durant la Première Guerre mondiale sur le Chemin des Dames, le 28 novembre 1914.

A l’occasion du centenaire de son décès, elle convie les Bordelais à un moment de mémoire et de recueillement sur sa tombe vendredi 28 novembre 2014 à 16h30 au cimetière protestant de Bordeaux, 193 rue Judaïque, en présence d’un membre de sa famille et de M. Michel SUFFRAN.

 

 

 

 

 

(Photo Journal Sud Ouest)

Ici : un reportage diffusé sur France 3 Aquitaine en juin dernier.

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