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Café politique « Tout va mal ? parlons-en » à la Bastide

Partant du constat que nous entendons tous les jours que la France va mal, que les Français n’ont pas le moral et que l’avenir est incertain, Michèle Delaunay a souhaité aller à la rencontre des Bordelais et écouter leur ressenti, ce qui domine leurs réflexions en ces temps difficiles.

Hier soir, 3 juillet, elle avait invité les habitants du quartier de la Bastide pour échanger sur le thème « Tout va mal ? Parlons-en ! ». A ses côtés sont venus la rejoindre Emmanuelle AJON, conseillère municipale, régionale et communautaire ainsi que Jacques Respaud, conseiller général.

Nombre de sujets ont été abordés dans une discussion franche et sans tabous : Europe, chômage, mondialisation, mesures gouvernementales, promesses électorales, budget, rythmes scolaires, paradis fiscaux, santé, impôts, indemnités des élus, démocratie…

Rendez-vous pour poursuivre le débat Jeudi 10 juillet à 18h au Connemara, 14-18 Cours d’Albret.

 

Ce n’est qu’un au revoir Armando !

Lundi soir, de nombreux élus et militants se sont réunis à la Fédération du Parti socialiste de la Gironde à l’occasion du départ à la retraite d’Armando COULON.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(Photo de Sandrine Doucet – Armando et sa compagne le lundi 30 juillet 2014)

Depuis 30 ans, Armando a marqué de sa bonne humeur et son accent venu de loin tous ceux qui ont croisé son chemin à la Fédé et c’est avec beaucoup d’émotion qu’il a tourné cette page d’une vie pleine d’engagement.

Après avoir été contraint de quitter le Chili où il avait combattu Pinochet et la dictature, nous aurons plaisir à le retrouver alors qu’il entame un nouveau chapitre qui s’annonce déjà bien rempli.

Retenue à Paris, Michèle Delaunay n’a pas être présente à cette soirée très amicale mais elle a tenu à rendre hommage à Armando en lui faisant remettre à cette occasion une médaille de l’Assemblée nationale.

Vous pouvez trouver en cliquant ici le très émouvant discours de Philippe MADRELLE, Sénateur, Président du Conseil général de la Gironde, venu saluer un militant exemplaire.

Une déviation qui passe en force

Ci-après, la vidéo de l’intervention de Michèle DELAUNAY en Conseil municipal lundi 23/06 sur la déviation des bus pendant les travaux de la ligne D de la rue Fondaudège, quartier Jardin Public. Je relaie la colère et les interrogations des riverains.
Le 2 déc 2013, Alain Juppé s’est engagé durant la concertation sur un choix d’itinéraire qui se trouve aujourd’hui abandonné au bénéfice d’un parcours imposé mais qui provoquera d’importants encombrements.
Ce nouveau parcours passe notamment par le bas de la rue de la Course, pourtant limité à 19t par un arrêté municipal de juillet 2007. Pour mémoire, un bus articulé pèse 30 tonnes.
Les habitants avaient eu la garantie d’un itinéraire au plus près, au plus court, dans une voirie adaptée et en évitant au maximum les croisements et les tournants.
Pour rappel, pendant 4 ans, il y aura sur ce secteur 250 bus/jour dans les 2 sens soit un bus toutes les 3’30’’ entre 5h30 et 00h30.

Intervention de Michèle Delaunay

 

Réhabilitation de la tombe du poète Jean de la Ville de Mirmont

Michèle Delaunay a été heureuse d’apprendre, lors du Conseil Municipal de ce jour que la Mairie de Bordeaux allait réhabiliter certaines tombes en déshérence du cimetière de Bordeaux et en premier lieu celle du poète Jean de la Ville de Mirmont, né à Bordeaux en 1886, mort pour la France en 1914 sur le Chemin des Dames et grand ami de François Mauriac.

Depuis des années, aux côtés de Michel Suffran, elle alerte les collectivités sur l’état de cette tombe.

 

Ci-après l’Horizon chimérique mis en musique par Julien Clerc

 

Je me suis embarqué sur un vaisseau qui danse


Et roule bord sur bord et tangue et se balance,


Mes pieds ont oublié la terre et ses chemins


Les vagues souples m’ont appris d’autres cadences


Plus belles que le rythme las des chants humains.

 

A vivre parmi vous, hélas !


Avais-je une âme ?


Mes frères, j’ai souffert


Sur tous vos continents

 

A vivre parmi vous, hélas !


Avais-je une âme ?


Mes frères, j’ai souffert


Sur tous vos continents

 

Je ne veux que la mer je ne veux que le vent


Pour me bercer, comme un enfant, au creux des lames.


Hors du port qui n’est plus qu’une image effacée


Les larmes du départ ne brûlent plus mes yeux


Je ne me souviens pas de mes derniers adieux

 

O ma peine, ma peine où vous ai-je laissée ?


Voilà je suis parti plus loin que les Antilles


Vers des pays de vents lumineux et subtils


Je n’emporte avec moi pour toute pacotille


Que mon coeur
, mais les sauvages en voudront-ils?

 

O ma peine, ma peine où vous ai-je laissée ?


Voilà je suis parti plus loin que les Antilles

Vers des pays de vents lumineux et subtils


Je n’emporte avec moi pour toute pacotille


Que mon coeur


Que mon coeur


Mais en voudront-ils ?


Je me suis embarqué sur un vaisseau qui danse

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