Déclaration d’amour au canton Grand Parc-Jardin Public
Ce titre est un clin d’oeil… Au cours des derniers mois et des derniers scrutins, l’amour a été porté en bannière par nos concurrents de l’UMP. L’un avait « Bordeaux à coeur » ou « La passion de Bordeaux », l’autre (Hugues Martin) était « le candidat de l’Amour des Bordelais.
Je me suis sentie un peu sans coeur mais non pas sans reproches. D’où le titre d’aujourd’hui. J’aime le canton Grand-Parc-Jardin Public !
Plus sérieusement : je veux être utile à ses habitants, à son développement, à son dynamisme et à sa qualité de vie.
Comment cela ?
En poursuivant mon action de proximité et solidarité qui sont les deux missions prioritaires du Conseil Général. Le dossier majeur dans ce domaine est celui du centre social du Grand Parc où le lien social a été détérioré par des jeunes troublés par l’action de l’adjointe de quartier dans la période d’élections municipales. Espérons que, maintenant que cette période est passée, personne ne prendra la responsabilité de jouer avec le feu.
En étant l’aiguillon de la municipalité pour les dossiers qui ne relèvent pas de la compétence du Conseil Général. Nos quartiers ont été délaissés pendant tant d’années, il faut proposer, rappeler, interpeller pour que des progrès puissent être réalisés.
Le dossier de la piscine du Grand Parc est ressorti des tiroirs après mon élection en 2004. La campagne électorale a été de ce point de vue très éfficace. Récemment, ma n-ième demande d’édifier une oeuvre d’art dans le petit square de la place de l’Europe (oeuvre d’art financée par le Conseil Général en totalité et construite avec les habitants) a été suivie d’un refus du Maire, qui a cependant découvert qu’il avait eu lui même cette idée…
S’il y a deux oeuvres d’art au Grand Parc, nous ne pourrons que nous en réjouir !
A la suite des élections municipales, j’avais la possibilité de demeurer Conseillère Municipale et communautaire ou de conserver mon mandat de Conseillère générale.
C’est cette dernière option que j’ai choisie, et en marchant tout à l’heure dans ces quartiers qui sont les miens depuis plus de trente ans, cela m’a fait chaud au coeur !
Eh oui, le coeur, toujours lui !