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Scoop

Sourire ce matin dans SO avec l’annonce de l’attelage de cinq messieurs pilotant le comité de soutien d’Alain Juppé et supposés représenter toute la diversité de notre grande cité.

Quatre UMP et, dangereuse ouverture, un Bayrouiste tendance nouveau centre (si on peut oser ce rapprochement). Fréquentable cependant : né à Caudéran, élevé et éduqué à Sainte-Marie de Grand Lebrun. Et sportif avec ça : il est assidu de Primerose que son frère dirige ! Week-ends au Cap Ferret, y’a pas de lézard.

Parité, ouverture, diversité culturelle, présideront à la campagne d’Alain J.

CQFD.

Ligne 15 : l’embellie

La vie politique est compliquée, quelquefois amusante, et certainement pas inutile. La défense de la ligne 15, désservant le vaste quartier du Grand Parc par huit arrêt distincts et le mettant à portée d’arbalète de l’hyper centre ville en est l’illustration. Je me permets de renvoyer au billet précédent sur le sujet (« Grand Parc : défense de la ligne 15 ») et à ses nombreux commentaires.

Rappelons une fois encore que c’est la CUB qui gère les déssertes d’autobus, le tram… Mais à Bordeaux comme ailleurs, sur ce sujet comme tous les autres problèmes communautaires, la CUB agit en concertation avec le Maire de la commune et ne va pas en opposition avec lui. Il en avait été ainsi du projet de suppression.

A l’approche de sa concrêtisation, je me suis adressée, autant par un courrier argumenté que par contact personnel, au Président Feltesse pour montrer combien le maintien était nécessaire à la pleine participation du Grand Parc au coeur de la ville et que l’on devait en outre tenir compte du nombre important de personnes pour lesquelles un surcroît de marche à pied et un transport non direct étaient réellement problématiques.

Vincent Maurin, conseiller municipal communiste de Bacalan, est également intervenu. Nul autre.

Brutalement, le Maire de Bordeaux a changé de position et s’est déclaré favorable au maintien. Nulle trace dans les archives de la CUB d’une levée de sourcil de sa part avant ce revirement.

Alors qu’elle en est la raison ? L’action des deux élus a été importante, mais plus encore celle des habitans du Grand Parc qui se sont élevés en bon ordre, non dans un intérêt communautariste, mais en prenant réellement compte des données objectives : nombre de déssertes au Grand Parc, temps de marche jusqu’à l’arrêt de tram pour de nombreux groupes d’habitation, pourcentage de la population âgée, absence de tout lieu culturel ou festif dans le quartier…

Le caractère ordonné, structuré, de cette démarche citoyenne est due à l’association « Villages de ville ». Je n’ai pas voulu la citer, en dehors de ce blog, sur aucun document écrit, pour ne paraître d’aucune façon « récupérer » une association pleinement indépendante.

Restons vigilants. De nouvelles propositions vont être faites à l’initiative de la CUB mais la volte face de la Mairie de Bordeaux laisse bien augurer de leur accueil.

Bel exemple de la « Responsabilité Sociale des Citoyens », sujet bien souvent abordé dans ce blog. Il est à la fois l’essence et la finalité de la politique.

Ligne 15 : l’embellie

Michèle Delaunay s’est investie dans la défense de la ligne 15, desservant le vaste quartier du Grand Parc par huit arrêt distincts et le mettant à portée d’arbalète de l’hyper centre ville en est l’illustration. (cf. billet précédent des Actualités cantonales).

Rappelons une fois encore que c’est la CUB qui gère les dessertes d’autobus, le tram… Mais à Bordeaux comme ailleurs, sur ce sujet comme tous les autres problèmes communautaires, la CUB agit en concertation avec le Maire de la commune et ne va pas en opposition avec lui. Il en avait été ainsi du projet de suppression.

A l’approche de sa concrétisation, Michèle Delaunay s’est adressée, autant par un courrier argumenté que par contact personnel, au Président Feltesse pour montrer combien le maintien était nécessaire à la pleine participation du Grand Parc au coeur de la ville et que l’on devait en outre tenir compte du nombre important de personnes pour lesquelles un surcroît de marche à pied et un transport non direct étaient réellement problématiques.

Vincent Maurin, conseiller municipal communiste de Bacalan, est également intervenu.

Le Maire de Bordeaux a finalement changé de position et s’est déclaré favorable au maintien. Nulle trace dans les archives de la CUB d’une levée de sourcil de sa part avant ce revirement.

L’action des deux élus a été importante, mais plus encore celle des habitans du Grand Parc qui se sont élevés en bon ordre, non dans un intérêt communautariste, mais en prenant réellement compte des données objectives : nombre de dessertes au Grand Parc, temps de marche jusqu’à l’arrêt de tram pour de nombreux groupes d’habitation, pourcentage de la population âgée, absence de tout lieu culturel ou festif dans le quartier…

Le caractère ordonné, structuré, de cette démarche citoyenne est due à l’association « Villages de ville ».

De nouvelles propositions vont être faites à l’initiative de la CUB mais la volte face de la Mairie de Bordeaux laisse bien augurer de leur accueil.

Suivi et Infogérance par Axeinformatique/Freepixel