L’effet Hollande
Exhortation à la croisssance de Mario Draghi, directeur de la BCE, « Agenda de la croissance » sorti hier de la poche d’Angela Merkel : l’effet Hollande se fait sentir avant même l’élection.
La confiance ne se décrête pas, elle se mérite. Et rapidement, nous en verrons les fruits.
Comments 7 commentaires
28/04/2012 at 14:59 jean
Il faudrait un peu se renseigner. La croissance, telle que l’envisagent monsieur Draghi et madame Merkel, ne peut être atteinte que par la dérégulation du travail.
En clair, fini les salaires minimum.
Rien à voir donc, et tout au contraire, avec ce que propose F. Hollande. Le plombier polonais va avoir de beaux jours devant lui…
La croissance de l’un n’est pas forcément celle de l’autre. Prudence !
28/04/2012 at 22:38 bredrel
moi je rejoins jean dans l’idée de mme merkel et beaucoup d’autres dirigeants politiques en Europe celui de la croissance par la compétitivité et non par la justice sociale et la régulation de l’économie dans tout l’europe ce que mr sarkozy n’a pas mis en place immédiatement la TVA sociale va se retrouver imposé de fait par l’europe
comme encore allez plus loin pour l’age de départ à la retraite et baisse aussi en même temps de la protection sociale pour la simple et unique raison c’est qu’aucun pays en Europe n’a plus la main du fait de ces dettes sur les décisions a prendre ou pouvant peut être encore l’être,
une opposition a cela et il est irrémédiable que la conséquence certaine est que le monde de la finance n’hésitera pas comme en Grèce, en Espagne, en Italie et au Portugal a y faire monter les taux d’intérêts sur les dettes étatiques pour arriver a ces fins c’est à dire le libéralisme économique capitaliste qui aura le dernier mot et même dans les mesures de redressement des finances publiques,
pourquoi les collectivités locales pourtant sans problèmes de dettes ont fort de mal a emprunter pour investir cela devrait déjà vous alerter, et si en sus on regarde de plus prés, il existe pourtant un pays en Europe indépendant par rapport a la monnaie qu’est l’€ et qui hélas lui aussi s’enfonce dans la crise (de l’autre coté de la manche) avec pourtant parait il une banque nationale indépendante du système économique ce qui n’est pas le cas de la bce source de financement des banques à 1 % reprêtant aux états ou aux entreprises en faisant une belle plus valus et encore si elles prête car peu enclin a le faire puisque cela leur permet de se conforter mais aussi d’imposer leurs règles celle de continuer a faire de l’argent avec de l’argent celle se spéculer pour se renflouer au plus vite de leurs déboires grec.
alors parler de besoin de croissance dont on a pas la maitrise de comment le faire sachant que les états n’ont plus financièrement les moyens de leurs ambition pour cela (lancer de grand travaux, ou investir pour la recherche ou l’éducation) c’est faire rêver aujourd’hui avec de grosses désillusions demain si l’europe des 27 n’adhèrent pas à plus qu’une majorité qui l’impose mais vu que majorité du fait des traités dans l’absolu est impossible, il faudra trouver une porte de sortie comme les grecs a un moment l’ont envisagé mais non pas put le faire car le couple sarkozy merkel du fait d’avoir sorti notre carnet de chèque a fait que cela n’a pas put se faire mais le résultat aujourd’hui est tangible le Grèce n’existe plus, bientot l’Espagne idem après le Portugal et fort bientot l’Italie qui sera ramener dans le rang elle aussi.
maintenant que fait on avec un gvt socialiste et qui devra appliquer une politique ultra libérale économique et financière qui vite risque de se retrouver au pied d’un mur infranchissable.
30/04/2012 at 23:52 Masha
Il me semble bien qu’à une époque pas si lointaine, même votre cher président se flattait de voir que la France s’en sortait plutôt mieux que les autres pays « grâce à ses amortisseurs sociaux »… Il est vrai qu’avec quelqu’un qui dit tout et le contraire de ce même tout, il est facile de le prendre à son propre jeu d’une parole chasse l’autre et bien fol qui s’y fit!
28/04/2012 at 15:28 ubu
Au prochain meeting de F. Hollande dans la région, tous les leaders socialistes locaux seront présents. Les locaux, les nationaux et peut-être même les internationaux.
– Tout occupé à déjouer le complot de « Ils » fomenté contre lui, DSK, lui ne sera pas au rendez-vous. En revanche, le candidat du PS à la présidentielle invitera à la tribune son grand ami, José-Luis Zapatero ( un grand de l’Internationale Socialiste que tant de nos amis espagnols n’oublieront pas de sitôt).
P. S. : S’il n’y a plus de compagnies aériennes ou ferroviaires dans la péninsule ibérique à ce moment-là, on pourrait inviter monsieur Papandréou. Ce dernier se ferait un plaisir d’effectuer petit détour par Madrid pour prendre en charge sur son scooter son ex-homologue.
28/04/2012 at 22:06 spéculation
Si bilan du quinquennat de Sarkozy était un échec, cela serait dû à la crise. Mais ailleurs, c’est dû aux socialistes.
28/04/2012 at 21:34 Louis II
Même les conservateurs dans les pays étranglés par la dette attendent l’élection de Hollande.
28/04/2012 at 23:51 Sil
Bof ! le véritable changement c’est SILcéron. la preuve ici :
https://republicoin.blogspot.fr/2012/04/presidentielle-2012-le-grand-discours.html