Acheté, en plusieurs exemplaires, sera offert à Noël. Est agréable, c’est vrai, la "casse" me plait bien, et surtout j’y retrouve tant de choses familières, mais avec un léger décalage : c’est imprimé dans un livre, billet après billet, à la suite. Et puis vous y êtes seule, sans tout le brouhaha de nos commentaires. Excellente idée d’avoir accompagné ce livre d’un CD. Grands moments, émotions, réflexions profondes et touches humoristiques : On vous y retrouve vraiment. Bravo aux réalisateurs qui ont fait un beau boulot en sentant bien le personnage. C’est ce qu’on dit, je crois, dans ces cas-là, et c’est vrai.
J’en profite : j’ai du mal à bien écrire l’éphémé…, ayant tendance à glisser un très inutile i pour écrire éphéméréité. Est-ce parce que effet mérité est trop évident ?
Je comprends très bien Colette moi ! Oui, j’aurais effectivement tendance à aller vers éphéméréïté… Mais, grâces vous soient rendues chère Michèle, épéhémérité désormais ne me pose plus aucun souci. JLV vous a t-il dit comme j’ai connu jadis ces fièvres étranges, après un séjour en Amazonie, qui laissaient penser qu’il s’agissait de paludisme… Ces crises qui se traduisaient par trois jours de fièvre intense se sont estompées… Cela revient parfois, mais je me demande si ce n’est pas devenu une coquetterie…
Comments 4 commentaires
14/11/2007 at 17:06 Michele
Merci Jean Luc, merci Dominique Emmanuel d’avoir accompagné ce livre jusque-là !
Et aussi d’avoir mettre sa couverture sur le blog. La boucle est ainsi bouclée : le livre rentre dans le blog d’où il est issu !
14/11/2007 at 17:53 colette
Acheté, en plusieurs exemplaires, sera offert à Noël. Est agréable, c’est vrai, la "casse" me plait bien, et surtout j’y retrouve tant de choses familières, mais avec un léger décalage : c’est imprimé dans un livre, billet après billet, à la suite. Et puis vous y êtes seule, sans tout le brouhaha de nos commentaires.
Excellente idée d’avoir accompagné ce livre d’un CD. Grands moments, émotions, réflexions profondes et touches humoristiques : On vous y retrouve vraiment. Bravo aux réalisateurs qui ont fait un beau boulot en sentant bien le personnage. C’est ce qu’on dit, je crois, dans ces cas-là, et c’est vrai.
J’en profite : j’ai du mal à bien écrire l’éphémé…, ayant tendance à glisser un très inutile i pour écrire éphéméréité. Est-ce parce que effet mérité est trop évident ?
14/11/2007 at 19:23 michele
à Colette
je suis très frappée de l’association que vous avez faite "effet mérité"/éphémérité. Elle ne m’était pas venue à l’oreille. Freudien !
14/11/2007 at 21:03 DEB
Je comprends très bien Colette moi ! Oui, j’aurais effectivement tendance à aller vers éphéméréïté…
Mais, grâces vous soient rendues chère Michèle, épéhémérité désormais ne me pose plus aucun souci.
JLV vous a t-il dit comme j’ai connu jadis ces fièvres étranges, après un séjour en Amazonie, qui laissaient penser qu’il s’agissait de paludisme… Ces crises qui se traduisaient par trois jours de fièvre intense se sont estompées… Cela revient parfois, mais je me demande si ce n’est pas devenu une coquetterie…