Studieux silence du dimanche
Après avoir fait la fée du logis, puis le déménageur breton, je me mets (je dirais presque : enfin !) au travail, dans une pièce calme, remplie de livres du sol au plafond, en accord parfait avec ce que je me suis promise de faire. En face de moi, un tout petit feu de cheminée, qui est là davantage pour donner prétexte à s’interrompre, aller souffler ou tisonner, que pour chauffer.
Une fois encore, il s’agit seulement d’exprimer que les conditions de travail sont tellement importantes. Dans un appartement où deux télés marcheraient en concurrence, je serais incapable de faire quoi que ce soit. Je pense aux enfants qui doivent avoir un lieu calme, des livres rangés, un petit bureau pour qu’ « étudier » leur paraisse une activité belle et valorisante, qui ne fait pas toujours envie (faut pas éxagérer !) mais qu’on est satisfait d’avoir accompli. Bon dimanche à tous.
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